« Les mots nous manquent… », titre un quotidien au lendemain de l’accident de Sierre. Et quinze pages pleines de mots relatent et commentent les faits. L’édition suivante y consacre encore quinze autes pages, tout en signalant que « des parents marqués ne comprennent pas de drame qui les frappe, ni le tourbillon médiatique qui l’accompagne ». Pareille contradiction pourrait étonner, voire choquer. Elle pousse à s’interroger sur la pauvreté des mots. Pourquoi ce phénomène médiatique est-il récurrent et…
Articles de François-Xavier Druet